Qui sont-ils ? (6)

Qui sont les personnes que les victimes mettent en cause depuis le 12 octobre 2010 et jusqu’au 28 décembre 2011 ? Dans quels secteurs d’activité travaillent-elles ? Dans quels départements ou régions ?

La supérieure hiérarchique, cheffe de cantine dans une école marseillaise. La victime est aussi une femme.

Le responsable des achats dans une entreprise de négoce de matériaux pour le bâtiment, dans l’Essonne.

Un collègue, dans une très grande bibliothèque parisienne

Un chauffeur, agent d’une grande municipalité, dans le Nord

Un collègue mécanicien, dans une entreprise de transport à Paris

Un responsable de service dans une école vétérinaire, dans le Val-de-Marne

Un Consul d’un Etat nord-africain, en poste dans une ville de Bretagne.

Un supérieur hiérarchique, responsable d’une équipe de sécurité dans une entreprise prestataire spécialisée dans l’aérospatial, à Toulouse.

Animateur d’une antenne locale d’un parti politique.

Un doctorant dans un laboratoire d’une université en Bretagne.

Un supérieur hiérarchique dans une entreprise de transformation de tabac en Dordogne.

Le directeur d’une supérette à Paris.

Un infirmier dans un hôpital du sud de l’Essonne.

Une agente de mairie, dans une mairie de l’Essonne.

Un directeur de recherche CNRS, dans un institut de recherche sur le cancer à Paris.

Le supérieur hiérarchique, dans un service administratif dans une structure publique destinée aux personnes handicapées, à Lyon.

Le supérieur hiérarchique dans un grand groupe de cosmétiques qui le vaut bien, dans les Hauts-de-Seine.

Le gérant d’un café à Paris.

Un collègue, dans la grande distribution dans le Pas-de-Calais.

L’employeur, dans une entreprise de formation, en Seine-et-Marne.

L’employeur, dans un laboratoire pharmaceutique anglais basé dans les Hauts-de-Seine.

L’employeur, dans une société de production audiovisuelle à Paris.

Un chef de service, dans une collectivité territoriale dans l’Essonne.

L’employeur, dans une société de services en Ille-et-Vilaine.

Le gérant d’une brasserie de Seine Maritime.

Un pédiatre à Paris.

Le gérant d’une maison d’édition dans les Hauts-de-Seine.

Un formateur, dans une piscine municipale d’Ille-et-Vilaine.

Un collaborateur externe à l’entreprise, dans le secteur de la sécurité, à Paris.

Un collègue, dans une brasserie dans la Manche.

Un collègue, dans une caserne de pompiers à Paris.

Un chef de service dans une compagnie aérienne basée en Seine-Saint-Denis.

Un client, dans un palace à Paris.

Un supérieur hiérarchique dans une entreprise de transports dans les Yvelines.

Le gérant d’une compagnie d’assurances dans le Morbihan.

Un chef de service dans un palace, à Paris.

Un supérieur hiérarchique dans l’armée, en Alsace.

Le chef d’équipe dans une société de nettoyage industriel dans les Bouches-du-Rhône.

Le gérant d’une entreprise de bâtiment dans le Val-de-Marne.

Le gérant d’une clinique vétérinaire dans le Val-de-Marne.

Le président d’une entreprise de métallurgie, siège social à Paris.

Le supérieur hiérarchique dans une entreprise d’intérim dans l’Essonne.

Un médecin traitant dans les Vosges.

Le directeur dans un magasin de sports dans le Val-de-Marne.

Le directeur adjoint d’un centre d’accueil pour handicapés dans le Val d’Oise.

Un employeur à domicile, en Guadeloupe.

Un chef d’équipe dans le nettoyage industriel, à Paris.

L’employeur, dans un bureau d’études dans le bâtiment, en Seine-Saint-Denis.

Un collègue de travail, éducateur spécialisé, à Paris.

Un gendarme, dans une gendarmerie des Pays de la Loire.

Le gérant d’une entreprise de nettoyage, dans l’Essonne.

Le gérant d’une entreprise d’aide à domicile, en Seine-Saint-Denis.

L’employeur, marchand de vêtements sur les marchés, en Aquitaine.

Un client, dans un hôtel du Val d’Oise.

L’employeur, dans une boulangerie d’Ille-et-Vilaine.

Un client-actionnaire dans une société de service en Seine-et-Marne.

Un collègue, dans un magasin de produits bios en Charentes.

L’employeur, dans une entreprise de traduction, en Aquitaine.

Le directeur d’une entreprise d’ameublement dans le Nord.

Un collègue, dans une collectivité territoriale de l’Isère.

Un chef de service dans une entreprise de fourniture d’électricité dans le Centre.

L’employeur dans une entreprise d’assurances, à Paris.

Un collègue, dans une multinationale d’agro-alimentaire dans les Vosges.

Des étudiants, sur un campus universitaire en Seine-Saint-Denis.

Le chef d’équipe, dans une entreprise de nettoyage dans les Hauts-de-Seine.

Le directeur des soins d’un centre hospitalier dans le Finistère.

Le gérant d’une entreprise de restauration collective dans les Hauts-de-Seine.

Le directeur d’une structure associative d’aide à la personne dans le Val-de-Marne.

Le gérant d’une entreprise de négoce en matériel industriel, dans la Vienne.

L’employeur, dans un cabinet notarial dans les Alpes Maritimes.

Le directeur adjoint dans une enseigne de moyenne distribution, à Paris.

Un collègue, dans une salle des marchés d’un banque à Paris.

Le gérant d’un restaurant à Paris.

Un supérieur hiérarchique, dans un musée public dans le Nord.

Le gérant d’une entreprise bénéficiant de la prestation d’une agence d’hôtesses d’accueil, à Paris.

Le directeur d’un restaurant, dans l’Essonne.

Le subventionneur d’une compagnie de théâtre, en Poitou-Charentes.

Un chef de service d’une multinationale pétrolière, en Rhône-Alpes.

Un collègue médecin anesthésiste dans une clinique privée en Seine-Saint-Denis.

Le gérant d’une entreprise informatique à Paris.

Un collègue dans un magasin de vêtements de luxe à Paris. La victime est aussi un homme.

Les supérieurs hiérarchiques dans une commune du Nord.

Un client, un réalisateur dans l’audiovisuel à Paris.

Le gérant d’une entreprise d’emploi en intérim, dans l’Essonne.

Le supérieur hiérarchique, pharmacien, dans un laboratoire pharmaceutique dans les Hauts-de-Seine

Le chef d’équipe dans une société de nettoyage, dans le Rhône.

Le chef d’équipe dans une société de nettoyage, dans le Vaucluse.

Le gardien d’un immeuble (la victime est la femme de ménage de l’immeuble), dans le Val d’Oise.

Le directeur artistique d’une compagnie de théâtre à Paris.

Un collègue, dans un cabinet d’expertise comptable dans le Rhône.

Un supérieur hiérarchique, dans une association en Loire-Atlantique.

Un supérieur hiérarchique dans un grand groupe de cosmétiques qui le vaut bien, à Paris cette fois…

Un supérieur hiérarchique dans l’armée, dans le Puy-de-Dôme.

Le directeur d’une galerie d’art à Paris.

Le supérieur hiérarchique dans une entreprise de services, dans le Nord.

Un ingénieur-chef dans une grande entreprise automobile dans l’Essonne.

Le directeur d’une société de travail temporaire à Paris.

Le maire d’une commune de l’Essonne.

Un agent administratif dans un service de police dans le Val d’Oise.

Le sous-traitant (agent de sécurité) dans une magasin de moyenne distribution dans l’Essonne.

Un dentiste dans le Rhône (la victime est une cliente).

Le maire d’une commune du Nord.

Le directeur d’un cabinet d’expertise comptable dans le Val-de-Marne.

Un collègue, dans une piscine municipale en Saône-et-Loire.

L’employeur d’une prestation de ménage et également bailleur de la victime, dans le Val-de-Marne.

Le dentiste-employeur, à Paris.

Un chef de service, dans une collectivité territoriale du Val d’Oise.

Le mairie d’une commune de l’Essonne…

Un avocat, dans l’Oise.

Les clients, dans un club de musculation dans le Val d’Oise.

Le chef d’équipe dans une entreprise de nettoyage, dans le Val d’Oise.

La directrice d’une association dans l’Oise. La victime est aussi une femme.

Un réalisateur dans l’audiovisuel à Paris.

Un chef de service dans une commune de l’Hérault.

Un prêtre-employeur, dans le Puy-de-Dôme.

Le directeur d’une école maternelle dans le Val de Marne.

Le directeur d’une école maternelle dans le Val de Marne. (2ème victime).

Le supérieur hiérarchique dans un cabinet d’ingénierie.

Le directeur d’un restaurant dans le Vaucluse.

Le gérant d’un débit de boissons dans le Gers.

Le directeur d’une entreprise de travaux publics en Vendée.

Le PDG d’un laboratoire de biotechnologies dans l’Hérault. Les victimes connues de l’AVFT sont au nombre de dix.

Le supérieur hiérarchique dans une entreprise dans le bâtiment, dans le Vaucluse.

Un supérieur hiérarchique dans un conservatoire de musique en Ardèche.

Le secrétaire de section d’un syndicat d’une grande entreprise de transports publics à Paris.

Le gérant d’une entreprise de bâtiment à Paris.

Le directeur d’une colonie de vacances, en Haute-Savoie.

Le gérant d’une entreprise de nettoyage dans l’Essonne.Les victimes connues de l’AVFT sont au nombre de trois.

Un chef de service dans une collectivité territoriale de l’Isère.

Le directeur d’un restaurant et des cuisiniers en Haute-Savoie.

Un collègue dans une entreprise de transports dans l’Essonne.

Le directeur d’une association de soin à domicile dans les Bouches du Rhône.

Le surveillant dans un CREPS en Haute-Garonne. La victime est un homme.

Le supérieur hiérarchique dans une communauté urbaine d’une grande ville du Nord.

Le maire d’une commune des Yvelines.

Le supérieur hiérarchique dans une entreprise de restauration collective dans les Hauts-de-Seine.

Le supérieur hiérarchique dans une entreprise de transport en Haute-Garonne.

Une supérieure hiérarchique dans un grand laboratoire pharmaceutique à Paris. La victime est aussi une femme.

Un lieutenant de police dans le Nord.

Le supérieur hiérarchique chez un fournisseur d’accès à Internet dans le Rhône.

Le gérant d’une boulangerie dans les Bouches du Rhône.

Un directeur de thèse, directeur de recherche au CNRS dans les Bouches du Rhône.

L’employeur, dans une association d’aide à la personne dans le Val d’Oise.

Le directeur d’un bureau de Poste dans les Bouches du Rhône.

Un collègue, dans une entreprise prestataire de sécurité à Paris.

Un stagiaire dans une société de service à Paris.

Un dentiste-employeur dans le Val d’Oise.

Un avocat, à Chartres.

Le directeur d’une entreprise de bâtiment dans le Morbihan.

Le gérant d’une agence immobilière en Seine-et-Marne.

Un directeur de recherche CNRS, dans le Val-de-Marne.

Un collègue dans un hôpital dans le Gard.

Un maire d’une ville du Nord.

Un supérieur hiérarchique dans une section syndicale d’une grande entreprise dans le Val-de-Marne.

Un collègue dans un restaurant des Hauts-de-Seine.

Un chef de service dans un centre de recherche spécialisé dans l’énergie atomique, dans l’Essonne. Les victimes connues de l’AVFT sont au nombre de deux.

Le gérant d’une chocolaterie en Lorraine.

Un gynécologue en Ille-et-Villaine.

Un responsable de formation dans une institution publique dans le Pas-de-Calais.

Un collègue dans une mairie des Hauts-de-Seine.

Le gérant d’une entreprise de froid dans l’Aude.

Un supérieur hiérarchique dans la cuisine d’un hôpital dans les Yvelines.

Le gérant d’une restaurant en Saône-et-Loire.

Le directeur d’un CROUS en Ile-de-France.

Le directeur d’un magasin de moyenne distribution en Seine-Saint-Denis.

Un formateur dans une école de journalisme dans l’Hérault.

Un collègue chez un fleuriste à Paris.

Un chef de service dans un très grand hôpital, à Paris.

Un collègue, dans la grande distribution en ille-et-Vilaine.

Un supérieur hiérarchique dans l’administration d’un lycée en Seine-Saint-Denis.

Le directeur d’une association du secteur médico-social dans le Calvados.

Le directeur d’une entreprise de conseil prestataire de Pôle Emploi, à Paris.

Un dentiste-employeur à Paris (un autre).

Le directeur commercial d’une entreprise de matériaux de construction dans la Manche.

Le gérant d’un restaurant en Seine-Maritime.

Un directeur de thèse, directeur de recherche au CNRS, dans l’Essonne.

Un supérieur hiérarchique dans un compagnie d’assurances dans les Hauts-de-Seine.

Un collègue dans un Institut Médico-Educatif dans le Jura.

Un collègue dans une entreprise d’ameublement en Seine-Saint-Denis.

Un supérieur hiérarchique, chez un traiteur à Paris.

Un supérieur hiérarchique, dans une entreprise textile à Paris.

Le gérant d’une supérette à Paris. Les victimes connues de l’AVFT sont au nombre de trois.

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