Une femme, victime d’agressions sexuelles commises par un collègue (avec la circonstance aggravante qu’elle est une personne vulnérable, reconnue comme handicapée par la COTOREP), a saisi l’AVFT… mais communique un minimum avec nous parce que son avocate lui a dit qu’elle n’avait le droit de parler de rien qui aurait un lien avec sa plainte pénale et la procédure (ce qui est faux, les victimes ayant bien entendu le droit de faire le récit des violences commises à leur encontre à des tiers, de leur délivrer des copies des certificats médicaux, des témoignages, des échanges de lettres avec leur employeur etc.).
Résultat : elle est convoquée en décembre pour un procès, mais l’AVFT ne peut pas se constituer partie civile à ses côtés.