/Dans la presse/ Le Conseil d’État secoué par plusieurs affaires de violences sexuelles

Anna* était une bonne élève. Excellente même, jugée « exemplaire » par l’Institut régional d’administration (IRA) où elle a étudié. Elle rêvait de travailler au service de l’État, pour une mission qu’elle croyait d’intérêt général. Aujourd’hui, la trentenaire se sent « usée ». Elle dit que « ça a bousillée ».

« Ça », c’est le récit qu’elle fait de son expérience dans une des plus prestigieuses institutions de la République, celle qui conseille le gouvernement dans la préparation de ses lois et de ses décrets, celle qui gère l’ensemble de la juridiction administrative, et qui incarne le juge administratif suprême : le Conseil d’État. Une institution qui joue aussi un rôle, judiciaire et politique, en matière de violences sexistes et sexuelles.

(…) Elle se rapproche de la CGT et de l’Association européenne contre les violences faites aux femmes au travail (AVFT). Elle saisit le Défenseur des droits. Elle finit par saisir le tribunal administratif : pour demander la protection fonctionnelle et des indemnités. Avant de se tourner vers la presse (lire notre Boîte noire).

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