« Ce qui se passe à bord reste à bord ». Connu et appliqué de tous, cet adage de la marine marchande évoque à première vue la solidarité entre marins. Mais qu’en est-il lorsque dans le huis-clos du navire, le danger vient de l’intérieur ? Que des femmes, minoritaires dans ce secteur (9,5% du personnel navigant) sont confrontées au harcèlement et à des agressions ? (…)
« Si elles ont fait appel à nous, c’est en raison de l’inertie extrêmement forte qu’elles ont constatée au sein de l’entreprise« , affirme Léa Scarpel, juriste au sein de l’AVFT. Une première victime avait saisi cette association en mai 2019, les trois autres en juillet 2020 ».
La suite sur Ouest-France : « Je veux pas de #MeToo sur mon bateau » : la marine marchande confrontée au sexisme