L’AVFT était intervenante volontaire.
Médiapart s’en fait l’écho :
La filiale low cost d’Air France est condamnée à verser à une hôtesse de l’air 11 300 euros de dommages et intérêts pour avoir sous-évalué de manière « flagrante » la gravité des faits reprochés à un commandant de bord.
(…) le conseil des prud’hommes estime que l’enquête menée « n’a pas été sérieuse, rapide, impartiale et contradictoire ». Transavia a « réagi tardivement et de manière insuffisante »
(…) En matière de prévention, la compagnie est par ailleurs « dans l’incapacité de démontrer la mise en œuvre de formation de sensibilisation, d’affichage sur le sujet du harcèlement sexuel au travail, antérieurement aux faits dénoncés ».