Appel d’une journaliste TV (Itélé Canal+)avec qui nous avions eu une conversation sur le fait que les médias ne s’intéressaient à l’AVFT que pour avoir accès aux victimes, pour remplir du « temps médiatique » quand une « affaire » en lien avec nos missions « éclate », mais jamais pour un sujet de fond, sur le travail de l’association par exemple. Elle s’était engagée à tenter de convaincre sa rédaction.
« Bonjour, je vous avais interviewée il y a quelques mois… et ça y est, ma rédaction est d’accord pour un sujet sur vous, vous êtes toujours d’accord ? »
« Bien sûr. En plus ça tombe bien, il y a une « actu » à l’AVFT , ces jours-ci on publie un ouvrage à l’attention des victimes, « violences sexistes et sexuelles au travail, faire valoir vos droits »
« Justement, je vous dis qu’on peut faire un sujet même en dehors de toute « actu »… ».
Ou comment être prise en flagrant délit de conformation à la demande médiatique alors que pour une fois on ne nous le demande pas. Merci, ça permet de re-prendre du recul !