Dans la grande salle de projection du CNC (Centre national du cinéma et de l’image animée), dans le 14e arrondissement de Paris, une soixantaine de professionnels du cinéma et de l’audiovisuel écoutent avec attention Marilyn Baldeck, déléguée générale de l’Association européenne contre les violences faites aux femmes au travail (AVFT). Pendant une demi-journée, elle répond à leurs questions, leur donne des exemples mais, surtout, rappelle les principes du Code du travail. (…)
Et de fait, au sortir du stage, les professionnels semblent avoir davantage d’outils pour faire face à un cas délicat, les esprits semblent plus ouverts. « Je suis allée à cette formation en traînant la patte, en pensant que je savais pas mal de choses sur le sujet. C’était très prétentieux. Au final, c’est vraiment nécessaire », reconnaît Iris Bucher, qui a pris de nouvelles précautions depuis. (…)
A lire sur LesEchos